Détenu ensemble avec deux autres personnes reconnues coupable de faux et usage de faux dans l’affaire des faux Eperviers de Bahreïn, l’ancien ministre togolais des Sports, et membre du défunt Comité intérimaire de gestion de la FTF, Antoine Folly, a recouvré sa liberté en fin de semaine dernière (plus précisément le vendredi 24 décembre dernier). Cette liberté provisoire fait suite à une demande de mise en liberté provisoire introduite par le Conseil d’Antoine Folly.
Selon certaines indiscrétions, cette liberté provisoire n’aura été facile que parce que ce dernier n’est pas vraisemblablement mêlé à cette affaire. Ceci, vu qu’aucun des papiers échangés lors de la négociation de ce match Bahreïn-Togo ne porte sa signature. En tout cas, cette libération, même si elle ne siffle pas la fin des poursuites et n’est pas la conséquence de la décision finale de la justice dans cette affaire, balaie en brèche toutes les allégations que brandissent les cerveaux de cette entourloupe pour signifier une supposée implication d’Antoine Folly.
Il faut tout de même reconnaitre qu’il y a nécessité de ramener cette affaire sur un terrain sportif. Ce à quoi s’attèle déjà la FIFA qui, selon nos informations, aurait envoyé une demande d’explication à la fédération de football du Togo pour avoir une idée claire sur le dossier.
Les deux autres co-détenus d’Antoine Folly, à savoir Bana Tchanilé, celui là même qui a réclamé la paternité du forfait, et son supposé complice, Mamadou Doucouré, pour leur part, continuent leur séjour à la prison civile de Lomé.
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