Il y a quelques jours, pour des raisons fallacieuses, le pouvoir insensible du Togo a mis aux arrêts les journalistes Ferdinand AYITE et Joël Vignon EGAH et l’activiste Fovi KATAKOU qui est une personne à motricité réduite.
Nous condamnons cette forfaiture qui foule aux pieds toutes les lois liées à la liberté d’expression et de la presse garantie par la constitution de la république togolaise.
Par ces actes, nous remarquons, malheureusement, que la dictature continue de se renforcer et provoque un climat de terreur dans le pays.
Nous exhortons tous les togolais de tout horizon à rester mobilisés.
Enfin, pour l’apaisement du climat social dans le pays, nous exigeons la libération sans condition de Kpatcha Gnassingbé, de ces journalistes et activistes et de même que celle de tout autre détenu politique.
Commandant Olivier AMAH
Ex-officier de gendarmerie