Nous constatons qu’il circule depuis le 27 janvier 2023 des FAKE NEWS sur les réseaux sociaux relatifs à un « congrès du MPL » le 29 janvier 2023 organisé par « les putschistes du MPL ». Nous informons l’opinion publique togolaise que les actes publics des partis politiques togolais sont soumis à des lois de la République Togolaise dont le respect relève de l’autorité et des devoirs du ministère de l’administration territoriale, qui ne doit pas laisser les activités publiques au nom des partis politiques togolais devenir « la cour du roi Pétaud », au risque d’encourager « le désordre public » au Togo sous la présidence du Chef de l’Etat, SEM Faure GNASSINGBE.
« Les putschistes du MPL », qui en sont à leur 4e congrès illégal du MPL sans aucune valeur juridique ni légale au yeux de ce ministère, après celui du 27 avril 2019, du 10 janvier 2020, et du 15 janvier 2022, prétendent avoir organisé, convoqué et présidé leur dernier congrès illégal au nom d’une fictive « plateforme des membres fondateurs du MPL » sous la couverture du « pantin » Kokou WOMI, alors que ni les statuts en vigueur du MPL issus de son second congrès officiel du 16 janvier 2022, ni ses statuts issus de son congrès constitutif du 9 février 2018, ne mentionne nulle part la qualité de membre fondateur, et encore moins ne lui accorde aucun droit. Par contre, d’après les articles 16 et 21 des statuts en vigueur du MPL, seul le Président National du MPL a le pouvoir de convoquer et présider un congrès du MPL. De plus, c’est en faisant « usage de faux » et en tombant ainsi sous le coup de la loi, que deux anciens secrétaires généraux du MPL, Roméo Ayao OLYMPIO et Kossi Apélétey DEGBLO ont usurpé le titre de secrétaire général du MPL pour s’associer à la convocation et à la présidence du dernier congrès illégal du MPL. Après le congrès illégal du MPL du 27 avril 2019, c’est la seconde fois que Roméo Ayao OLYMPIO viole les statuts du MPL et piétine la loyauté et la morale pour s’autoproclamer avec ridicule Président National du MPL à la place de son fondateur, après avoir en vain fait nommer à ce poste une de ses maîtresses en la personne de Mawuto KOUMI A-LEY au second congrès illégal du MPL du 10 janvier 2020. Tout comme le congrès illégal du 15 janvier 2022, celui du 29 janvier 2023, prévu au centre communautaire de Be, a été empêché de se tenir en ce lieu par les forces de l’ordre mandatées par le ministère de l’administration territoriale, avant de se tenir dans la clandestinité.
Ce n’est pas seulement sous la République Togolaise que les actes publics sont soumis à des lois, mais aussi dans les sociétés traditionnelles togolaises et africaines, conformément au principe juridique et légal exprimé en ewé par la formule « azon dé essé dzi ». Par leur incapacité à comprendre et à respecter les lois de la République Togolaise et des sociétés traditionnelles togolaises, les « putschistes du MPL » se comportent donc comme des « tarés incapables de distinguer leur gauche de leur droite » et comme des « dangereux fauteurs de trouble public multirécidivistes ».
Conformément à l’adage latin « se tromper est humain, mais persister dans l’erreur est diabolique », la persistance diabolique des putschistes du MPL dans l’erreur, la traitrise et l’immoralité est aggravée par leur cuisant échec judiciaire du 25 avril 2022. En effet, malgré la gravité des fautes des trois premiers congrès illégaux du MPL, le Président National du MPL, le Professeur Pascal Kossivi ADJAMAGBO, au lendemain du congrès officiel du MPL du 16 janvier 2022, avait soumis au meneur des « putschistes du MPL », Ayao Roméo OLYMPIO, une « proposition de clémence » en date du 27 janvier 2022, assorties de « conditions » pour rétablir la loyauté, l’ordre, la confiance et l’efficacité au sein du MPL réunifié. Les seules réponses reçues à ce jour par le Président National du MPL à sa « proposition de clémence » ont été l’assignation à bref délai en date du 28 janvier 2022, le lendemain même de la date de cette « proposition de clémence », de tous les 7 membres du Bureau National du MPL issu de son second congrès ordinaire du 16 janvier 2022, et leur nouvelle assignation devant le tribunal de première instance de Lomé le 20 mai 2022 pour un jugement sur le fond qui suit son cours.
Pourtant, cette première action en justice des « putschistes du MPL » contre le MPL s’était déjà retournée contre eux avant cette nouvelle assignation en justice. En effet, au jugement en référé du 25 avril 2022, le juge non seulement a rejeté la demande des putschistes du MPL d’annuler le procès verbal du second congrès ordinaire du MPL en date du 16 janvier 2022, mais a aussi condamné la plaignante officielle des putschistes devant la justice togolaise, Mawuto KOUMA A-LEY, à une lourde amende s’élevant à 1 216 000 FCFA. De plus, dans sa décision écrite en date du 13 mai 2022, le juge a motivé sa décision par les faits que sur le récépissé du MPL utilisé par les « putschistes du MPL », il est écrit que le Président National du MPL est le Professeur Pascal Kossivi ADJAMAGBO, et que c’est lui que le ministère de l’administration territoriale reconnaît comme tel, sous-entendu en reconnaissant le procès verbal que veulent faire annuler les « putschiste du MPL ».
Conformément à la loi fondamentale de toutes les sciences selon laquelle « le même causes produisent toujours les mêmes effets », les membres du Bureau National du MPL sont confiants que la seconde action en justice des « putschistes du MPL » contre eux finira par se retourner de nouveau contre les « putschistes du MPL », mais cette fois-ci de manière beaucoup plus grave, en condamnant la fausse « présidente nationale du MPL » et vraie « maîtresse officielle » du chef des putschistes du MPL, à côté de son « épouse officielle » et de ses multiples « maîtresses officieuses », lâchement instrumentalisée par les meneurs des « putschistes du MPL », à la lourde amende l’ayant déjà poussée depuis cette condamnation financière à se « cacher comme un rat dans un trou ».
C’est en étant été échaudés par leur cuisant échec judiciaire au terme du jugement en référé, en redoutant le même sort au terme du jugement sur le fond en cours que les « putschistes du MPL », en piétinant les lois de la République togolaise et des sociétés traditionnelles togolaise, en violant les statuts du MPL, et en se moquant de la justice togolaise, que « les putschistes du MPL », en désespoir de cause, ont tenté le coup du 4e congrès illégal du MPL, qui malheureusement est déjà voué à l’échec comme leurs trois congrès illégaux précédents.
Lomé, le 30 janvier 2023
Pour le Bureau National du MPL,
La Première Vice-Présidente,
Madame Ayoko SALLAH