Le 21 août 2014, Pascal Bodjona qui avait quitté son domicile pour répondre à la convocation du juge du 4e cabinet de justice de Lomé, n’avait pas pu regagner son domicile.
Depuis cette date, l’ancien ministre de l’Administration territoriale et des collectivités locales passent ses nuits derrière les grilles de la prison civile de Tsévié, à environ 30 Km de Lomé.
Bien sûr, sous une disposition particulière prise, tant dans la prison civile de la localité que son alentour. Des mauvaises langues vont jusqu’à dire que, tout autour de la prison, le dispositif sécuritaire pris est très impressionnant.
Mais, voilà un de ses proches joint au téléphone lundi matin, rassure la rédaction d’icilome.com sur les conditions de détention de l’ex ministre sont actuellement flexibles.
Autrement dit, voir Pascal Bodjona à la prison civile de Tsévié ne pose plus de soucis tant à son entourage qu’à ses fans.
Cité dans l’affaire d’escroquerie dite internationale impliquant l’homme d’affaires très riche, Bertin Agba, comme témoin, l’ex ministre Pascal Bodjona deviendra plus tard, un inculpé. A ce jour, le cerveau n°1 a pris la poudre d’escampette et sera sous le coup d’un mandat international émis par la justice de Lomé.
Pascal Bodjona avait déjà été gardé à vue au sein de la gendarmerie nationale de Lomé pendant plus de 7 mois dans le cadre de cette affaire qualifiée « d’escroquerie internationale ».
Proche du président Faure Gnassingbé, Pascal Bodjona a occupé les fonctions de ministre de l’Administration territoriale et de porte-parole du gouvernement de décembre 2007 à son éviction surprise du gouvernement.
Le ministre Bodjona lui estime qu’il est en prison pour des motifs politiques
icilome
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