C’est le procès dont tout le monde parle au Togo depuis quelques jours. Ce 19 août 2020 les avocats de Fabrice Adjakly et ceux de Ferdinand Ayité du journal l’Alternative se sont retrouvés devant le juge dans le cadre du PétroleGate. Seulement, ce procès tant attendu n’aura duré que le temps de son ouverture. Les débats ont été renvoyés sur le 16 septembre prochain. Mais en attendant que les deux parties déploient leurs argumentaires au prétoire, c’est devant le tribunal de l’opinion que la bataille se fait âpre. Visiblement, le clan Adjakly, dépassé par les événements se cache derrière de faux comptes Facebook pour répandre des mensonges dont eux seuls maîtrisent les tenants et les aboutissants. Selon les informations dignes de foi, la famille est dans la tourmente. Cette affaire est en train de secouer sérieusement la famille et certaines langues se délient. Certainement d’autres révélations dans les jours à venir. « Quand on choisit l’option du pire, voilà ce que ça donne », lâche un proche de la famille.
Me Sossah qui défend la famille Adjakly, épinglée dans ce vaste scandale s’est répandu dans la presse pour plaider la cause de ses clients. Quoi de plus normal. C’est son droit même si ce dernier dans ses tentatives d’explication s’enferme dans les contorsions dignes d’un débutant. Dont acte ! Mais comme son offensive médiatique a dit bonjour à Monsieur « fiasco », la meute derrière les Adjakly, pour quelques grisbis a trouvé une stratégie hors du commun. Ils ont très vite créé de faux compte Facebook pour s’attaquer à la personne de Ferdinand Ayité. L’objectif est simple. Faire passer celui-ci comme le mauvais garçon de l’histoire. Sur Facebook, ils débitent des énormités pour salir l’image du journaliste.
Seulement, l’opinion sait pertinemment qui est du bon côté de l’histoire et ce n’est pas bien sûr les Adjakly. S’il faille faire recours à ces viles méthodes, c’est que la sérénité a visiblement quitté les plaignants dans cette affaire qui sont ceux qui s’agitent aussi le plus.
Du côté du journal l’Alternative, c’est manifestement la sérénité. Le patron de ce journal d’investigation promet d’ailleurs d’autres révélations. Cette affaire n’a donc pas encore livré tous ses secrets. Qui vivra, verra, comme le dira l’autre !
La Rédaction/ togoactualite