On ne le dira jamais assez, le Togo est infesté d’individus indésirables qui malheureusement occupent des postes de responsabilités au sommet de l’Etat et par ricochet ils constituent des dangers permanents pour la sécurité du pays.
Ces dernières semaines, le canton d’Agoè a été le théâtre des scénarii inhumains et barbares. Sept corps sans vie, dans un état de décomposition avancée des jeunes filles dont l’âge est compris entre 12 et 15 ans, amputés de leurs parties internes furent découverts dans les environs du champ de tir des Forces armées togolaises(Fat).
La semaine dernière, dans le canton de Bè, plus précisément à Kpéhénou, un homme d’une soixantaine d’âge a été retrouvé mort, assassinat dans sa chambre, ses objets emportés. A Ablogamé, dans la zone portuaire, plus d’une demi-dizaine de portes de boutiques ont été défoncées par les voleurs emportant les marchandises
Et pourtant, les services de sécurité et de défense du Togo sont présentés comme les meilleurs de la sous région par les autorités togolaises.
Lors de son déplacement, le 27 septembre dernier à Agoè, après ces actes barbares et immondes, le ministre de la sécurité et de la protection civile, Directeur de l’aviation civile(cumul de fonction) a vomi des phrases qui démontrent à suffisance non seulement toute l’incompétence de ce ministre mais que la vie des togolais n’est pas dans de très bonne main. Puisque malgré « l’assurance » donnée par le ministre, les malfrats de cette scène ne sentent pas inquiété en témoigne la découverte macabre le lundi 31 octobre dernier du corps sans vie d’une fillette de 8 ans vidé de son sang retrouvé dans un puisard à Adidogomé Avatamé
Dans un pays normal, tous les policiers qui sont sensés assurer la garde dans ce quartier en ce temps, devraient être interpellé.
L’autre côté qui fait grincé les dents c’est que, on ne peut pas comprendre que les frais du contribuable togolais sont utilisés pour l’achat de carburant dans les fourgonnette destinées pour l’opération araignée dans le but de garantir une véritable sécurité aux populations togolaises, mais ces véhicules ont ne les retrouve que sous les lampadaires la nuit, dans les quartiers les plus éclairés au dépend des quartiers qui ne le sont pas ou parfois devant les vendeurs de carburants frelatés où les occupants de ces véhicules se muent en collecteurs de pièces d’argent auprès de ces malheureux revendeurs, en étalent toute leur misère et pauvreté, alors que les malfrats choisissent bien leurs lieux d’interventions.
Depuis l’arrivée du colonel Dokissim Latta Gnama de ce ministère en remplacement d’un autre cacique du Rpt envoyé dans un « garage » à Agoè (suivez nos regards), bon nombre de togolais n’ont plus le sommeil tranquille
La constitution togolaise dans son article 13 stipule que « l’Etat a l’obligation de garantir l’intégrité physique et mentale, la vie et la sécurité de toute personne vivant sur le territoire national. Nul ne peut être arbitrairement privé ni de sa liberté ni de sa vie » et au jours d’aujourd’hui, Faure Gnassingbé et les canidés, les arrivistes qui n’ont rien à prouver à la population si ce n’est du vol, de la corruption, sont incapables de garantir la sécurité de ce peuple privé depuis la nuit des temps de plusieurs de ses droits et sacrifier devant l’autel de la misère et de la servitude, il y a de quoi à se poser beaucoup de questions sur la compétence du ministre Gnata Latta et son véritable objectif pour la sécurité de cette population.
source : triangledesenjeux.com
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