L’Université de Lomé est actuellement le théâtre d’une controverse alimentée par une pétition qui vise à remettre en question la gestion du Président Dodzi Kokoroko. Cependant, derrière cette apparente préoccupation pour la gouvernance se cache une réalité beaucoup plus sombre. Les initiateurs de la pétition ont utilisé des méthodes subversives et des pratiques douteuses pour obtenir un nombre limité de signatures, manipulant ainsi le processus et servant leurs propres intérêts égoïstes. Dans cet article, nous examinerons les preuves accablantes qui suggèrent une intention malveillante de nuire à l’évolution de l’Université plutôt que de défendre des idéaux académiques légitimes.
Des enseignants-chercheurs véreux
Sur les 1280 enseignants-chercheurs que compte l’Université de Lomé, seuls 160 ont signé la pétition contestataire. Cependant, il est troublant de constater que certains d’entre eux ont été impliqués dans des actes de vol de signatures pour gonfler artificiellement le nombre de soutiens. Ces enseignants-chercheurs malhonnêtes se sont ainsi engagés dans des pratiques frauduleuses visant à donner l’illusion d’une majorité opposée à la gouvernance de Kokoroko. Cette manipulation sournoise a pour objectif de tromper non seulement la communauté universitaire, mais aussi les acteurs politiques togolais, influençant ainsi indûment les décisions qui concernent l’avenir de l’université.
Les échanges confidentiels révélateurs
Une synthèse des discussions entre les initiateurs de la pétition, identifiés sous les noms d’Adjita-Hounsi » de l’équipe WOLOU, et un enseignant-chercheur manipulé, livre un aperçu de leurs méthodes douteuses. Dans ces échanges dont nous avons reçu copie, on peut observer des manœuvres visant à convaincre ce dernier de reprendre sa signature, malgré sa rétractation clairement exprimée. Il est clair que l’objectif de l’équipe WOLOU est de préserver l’apparence d’une mobilisation majoritaire, peu importe les moyens utilisés pour y parvenir. Ces échanges soulignent l’absence de transparence et la volonté délibérée de manipuler l’opinion.
L’intégrité de l’Université en jeu
Ce qui est réellement en jeu dans cette affaire n’est pas la gestion rigoureuse de l’Université de Lomé par le président Kokoroko, mais bien les intérêts égoïstes de certains enseignants-chercheurs qui cherchent à saboter l’évolution académique de l’institution. Plutôt que de s’engager dans un dialogue constructif et de proposer des solutions pour l’amélioration de l’enseignement et de la recherche, ils préfèrent semer la discorde et miner la réputation de l’université à des fins personnelles. Leur manque d’éthique et de respect pour l’intégrité académique est préoccupant et devrait être condamné par la communauté universitaire dans son ensemble.
Il est temps de lever le voile sur les agissements malhonnêtes de certains enseignants-chercheurs à l’Université de Lomé . Leur utilisation de méthodes subversives pour manipuler des pétitions, leur volonté de tromper les acteurs politiques et leur indifférence face à l’intégrité académique sont autant de signes inquiétants pour l’avenir de l’établissement. Il est impératif que la communauté universitaire se mobilise pour mettre un terme à ces pratiques douteuses et œuvre ensemble pour préserver la réputation de l’université et garantir son développement académique dans l’intérêt de tous.