Il y a des subalternes qu’il vaut mieux ne jamais courroucer. Surtout en ne portant pas la main sur leur chef. L’ex-directrice des Impôts, Ingrid Awadé, l’aurait appris à ses dépens.
Il vous souvient qu’une affaire de gifle avait défrayé la chronique des faits divers dans un passé récent. Les informations avaient fait état de ce que la puissante égérie de la République, Ingrid Awadé, directrice générale pendant longtemps de la régie financière, Direction des Impôts, avant d’être récemment remplacée par les réformes de l’Office togolais des recettes (OTR), avait giflé un commandant des Forces armées togolaises (FAT), spécialisé dans les écoutes téléphoniques. Parce qu’une Éthiopienne qui serait aussi une égérie de la République, avait obtenu un contrat pour changer les rideaux au palais de la présidence.
Seulement voilà. Nous apprenons que l’affaire ne s’est pas arrêtée à la paire de gifles administrée par Ingrid Awadé, puisqu’un des éléments du Commandant aurait réagi en homme en répliquant. Oui, la Directrice générale avait aussi giflée proprement, tant et si fort que le béret vert auteur de la gifle a été mis aux arrêts de rigueur pendant deux mois, avant d’être réformé au motif qu’un homme ne doit pas porter la main sur une femme. Que devient-il ? Le Commandant aura-t-il un esprit de reconnaissance envers lui pour avoir lavé cet affront fait à son supérieur ? En tout cas, tout finit par se savoir.
Source : [20/03/2015] Abbé Faria, Liberté
les gens du nord du Togo qui constituent la majorité dans la fonction public ,le gouvernement et l’armée ont le pouvoir et le droit de vie et de mort sur le peuple togolais.donc cette ne fait que suivre le comportement des gens du nord du togo .
Bien fais pour elle cette viper de l’economie togolaise