Après le coup d’État du 13 janvier 1967, les partis politiques ont été interdits et tous les processus constitutionnels ont été suspendus.
Le colonel Kléber Dadjo a été nommé président par intérim du Togo (en qualité de président du Comité de réconciliation nationale), poste qu’il occupera jusqu’au 14 avril 1967, date à laquelle Eyadéma assumera la présidence jusqu’à son décès le 5 février 2005.
Il fit de l’unité nationale son véritable combat politique, de tout son règne.
Il fut le principal initiateur du Comité de réconciliation nationale de 1967.
Réconciliation, unité nationale… où en est-on réellement au Togo aujourd’hui ?
Eli GOKA-ADOKANU, Journaliste