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Togo / Assassinat de Sylvanus Olympio: De la nécessité pour l’État togolais de commanditer un rapport officiel sur l’implication des anciens militaires démobilisés

18 décembre 2024
dans OPINION
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L’actualité marquée par la commémoration des 80 ans du massacre de Thiaroye doit interpeller au Togo, dans lequel une nouvelle République a récemment été adoptée. Ce changement a été opéré sans explications préalables sur les vrais mobiles conduisant au basculement dans une nouvelle ère républicaine et son opportunité. Peut-on voir là une réplique d’un vieil événement tragique, orchestré par une minorité de Togolais, notamment des anciens militaires de la Coloniale qui fit passer le Togo du jour au lendemain d’une République à une autre : le coup d’État du 13 janvier 1963 ?

On pourrait répondre par l’affirmative, car les vraies causes du coup semblent bien différentes des raisons que le « comité militaire insurrectionnel », constitué précipitamment alors, avait présenté au monde entier. L’un de sujets majeurs qui opposait les mutins au pouvoir d’antan, notamment à Sylvanus Olympio, était leur intégration dans une armée togolaise, car ils étaient pour la plupart sans emplois. Aussi, n’avaient-ils pas encore perçu leurs soldes de la France depuis leur démobilisation. Le « gel des pensions » des anciens militaires africains était un sujet de crispations. Il touchait de même ceux des anciens militaires qui étaient engagés – sur concours – dans les forces militaires du Togo : Compagnie d’Infanterie, Garde Togolaise, Gendarmerie, y compris la Sûreté nationale qui était petite et non armée alors. Ces derniers étaient pour la plupart instruits, contrairement à ceux qui étaient au chômage.

Ce mécontentement des militaires est un facteur important à prendre en compte dans toute recherche des mobiles de leur action. Or, le mécontentement lié au non-paiement de soldes et par ricochet la peur d’une vie de misère pour ces militaires qui s’imaginaient en maîtres dans leurs pays à leurs retours avait déjà été la cause de la révolte des anciens « tirailleurs » de Thiaroye. Ces derniers, qui avaient été emprisonnés dans des camps « allemands » en France, c’est-à-dire les Frontstalags, durant la Seconde guerre mondiale, débarquèrent en Afrique, plus précisément près de Dakar avec l’espoir de voir leurs soldes, notamment le reste de leur pécule de démobilisation, aussitôt payées. Ces espoirs ont été déçus.

Selon l’historienne Armelle Mabon, même « la mise en place de prestations familiales [entre autres traitements dus aux anciens militaires] a été retardée jusqu’en 1956 sous prétexte que les Africains dépenseraient cet argent pour la polygamie et l’alcool. » Cette problématique de soldes ou de pensions traina jusqu’aux années 1960 et concernait plusieurs anciennes colonies françaises d’Afrique, y compris les anciens territoires sous mandat comme le Togo et le Cameroun. Or, dans ces deux derniers territoires, le droit était différent de celui appliqué dans les colonies françaises et ils étaient, sous la Communauté, « déjà virtuellement indépendants », pour parler comme l’historienne Camille Evrard. Il semble que la France avait l’intention d’imputer, par des manœuvres, le paiement à des jeunes États comme le Togo, surtout pour les vétérans de la guerre d’Algérie.

De Thiaroye à Lomé, le mécontentement des anciens miliaires face au non-paiement de soldes

Au Togo, le hasard des paiements de dédommagement ouest-allemands, qui reçurent tout l’appui du président Olympio, semble avoir joué un rôle dans la révolte des anciens militaires. La question de paiements concernait aussi le Cameroun. Cette question, qui, au début, ne touchait que les anciens membres de la force de police allemande, c’est-à-dire des soldats, avant d’être ensuite élargie à tous les employés civils, avait été évoquée depuis la visite d’Eugen Gerstenmaier, le président du Bundestag, au Togo en août 1960. Le paiement (environ 60 000 F CFA par personne) qui touchait en fin d’opération un millier d’anciens serviteurs du Reich au Togo, débuta le 3 janvier 1963. Jusqu’alors le président Olympio refusa d’accéder aux diverses revendications des anciens militaires de la Coloniale, qui étaient revenus au Togo entre février et juillet 1962. Il se refusa aussi d’accepter la proposition française d’intégration des anciens militaires dans une armée togolaise. Cela aurait pu soulager le fardeau des pensions à la France. Cette dernière ne les avait pas payés jusqu’alors.

Pour le président Olympio, les dépenses militaires étaient un luxe pour le Togo, un petit pays d’Afrique. Le développement économique était prioritaire à ses yeux. Il n’hésitait donc pas à couper dans les dépenses prévues pour les forces militaires, afin d’avoir un budget équilibré. À environ une semaine du coup d’État, la comparaison avec le traitement des anciens soldats togolais par la RFA a sans doute augmenté la colère de ces militaires revendicateurs, semble-t-il irrités par l’attitude du président. Un rapport d’antan nota que « le président pouvait se montrer extrêmement dur envers ses subordonnés […] (surtout ceux qui sont moins intelligents). Ses relations personnelles avec ces subordonnés laissaient souvent des cicatrices de ressentiment. » Une délégation conduite par le Major Kleber Dadjo et le Lieutenant James Assila qui discuta avec lui au sujet du traitement des militaires, le mercredi 9 janvier 1963, rapporta d’ailleurs des remarques assez dures du président.

Des renseignements recueillis par l’ambassadeur américain, Leon B. Poullada, témoin oculaire de la mort du président Olympio, donnent à croire que la France s’était empressée pour payer certains anciens militaires, c’est-à-dire un petit groupe, avant le coup. Cela expliquerait la distribution d’argent imputée à l’adjudant-chef Emmanuel Bodjollé alors. Certains pensent qu’il avait reçu de l’argent du Ghana. Même si certains indices pointent vers cette probabilité, il n’est pas clair s’il en avait reçu ou pas, en marge de l’opération française sus-évoquée. Du reste, des témoignages font savoir que la France paya « certains éléments d’arriérés [de salaires] » deux semaines après le coup. Cela montre qu’elle y fut contrainte par l’action ouest-allemande et surtout par le soulèvement des anciens militaires revendicateurs, rejoints entre-temps par des membres des forces régulières.

Ce bref exposé montre à quel point il est important de commanditer un rapport officiel pour informer l’opinion publique et internationale sur les contours de l’assassinat du premier président togolais et le renversement de la Première République.

Pourquoi commanditer un rapport officiel ? Quelques propositions non exhaustives

Un rapport officiel permettra d’éclaircir plusieurs zones d’ombre en lien avec le renversement de l’ordre constitutionnel et de renforcer la crédibilité de certains États amis du Togo, comme la France. On comprendrait par exemple la raison pour laquelle les anciens militaires étaient des visiteurs réguliers de l’ambassade de France à Lomé. Au-delà de toute suspicion, il est probable que les derniers se rendaient à l’ambassade pour s’enquérir de leurs soldes à la pairie.

Il y avait eu, dans la même ambassade, une distribution de matériels militaires (uniformes et casques) à la fin d’année 1962 et certains militaires français avaient mis leurs familles à l’abri. Si le cas des Français est plus ou moins clair, car selon la jeune historienne française Pauline Cherbonnier, une « notice à l’usage des officiers appelés à servir au Togo » dans le cadre de la coopération militaire franco-togolaise appelait ceux-ci à veiller particulièrement à leur comportement dans cet État dès le début janvier 1963. Il faut aussi préciser que la France était sur le point d’aider à l’équipement d’une nouvelle force de l’armée togolaise : une seconde Compagnie d’Infanterie projetée. Cela était le fruit d’un projet inspiré par les Américains. Ceux-ci avaient mis la pression sur la France, après la visite du président Olympio aux USA. La France avait ainsi fait acheminer du matériel militaire du Dahomey vers le Togo. L’Agence de Presse Allemande (DPA) avait alors informé l’opinion internationale sur ces mouvements à l’ambassade de France à Lomé. Mais peut-on voir un lien direct avec l’initiation du coup des anciens militaires ? Car cette ambassade, qui resta en communication avec les mutins au petit matin du 13 janvier 1963, communiqua difficilement avec d’autres chancelleries, comme celle américaine et, dans une moindre mesure, avec celle ouest-allemande.

Il est nécessaire tant du côté de la France que du Togo d’aller vers un éclaircissement officiel des circonstances de la mort du premier président du pays et du renversement de son gouvernement, parachevant la fin de la Première République. Cela profiterait aussi à l’Allemagne, car à l’annonce du coup, le président fédéral Heinrich Lübke se décida de bien venger son ami défunt. Ainsi, lorsqu’il vint au Togo en mars 1966, il fit bander sa main pour éviter de saluer Etienne Eyadema, le militaire qui réclama être l’auteur du coup, pourtant placé derrière le président Grunitzky par le protocole d’État togolais. « La main bandée » de Lübke fit la Une de plusieurs journaux à l’époque. Mais surtout car le coup serait lié à un projet d’aide ouest-allemande d’envergure sous-régionale, au point où Peter Scholz, un ancien ambassadeur de la RFA au Togo, affirma : « dans les évènements du changement de pouvoir à cette époque, l’affinité moins française qu’allemande du président Olympio a joué en sa défaveur. »

Le projet n’était pas bien vu par la France – qui avait offert le Port de Cotonou au Dahomey – et encore moins par Nkrumah à cause du Port de Tema. Cette dernière précision conduit à envisager aussi le rôle avéré ou supposé du Ghana dans le coup, puisque certaines recherches tendent à pointer du doigt son dirigeant, qui entretenait des relations tendues avec le Togo. Encore peu avant le coup, ce dirigeant accusait le Togo d’immixtion dans une affaire d’atteinte à la sûreté de l’État ghanéen. Par ailleurs, les autorisations nécessaires à la conclusion de la convention de prêts en vue de la réalisation du projet ouest-allemand avaient été recueillies entre les différentes institutions concernées (Assemblée Nationale, président de la République et différents départements ministériels) entre la mi-décembre 1962 et le 4 janvier 1963. La coïncidence temporelle avec l’action de paiement ouest-allemand sus-évoquée saute aux yeux. Moins d’une dizaine de jours plus tard, survint le coup. Toutes ces coïncidences sont curieuses.

Au-delà d’un rapport officiel, la nécessité de doter le Togo d’archives nationales modernes

Des rapports d’experts de l’UNESCO datant de la fin des années 1970 montrent que des archives étaient conservées dans le sous-sol de l’ancienne Présidence. Existent-elles encore et peut-on accéder aux fonds pour faire la lumière sur le renversement de la Première République ou doit-on avoir recours aux archives d’autres États, comme la France, l’Allemagne, les USA ?

Selon Yves Marguerat, un Français ayant travaillé sur l’histoire togolaise, l’« histoire nationale » est à la fois un puissant enjeu sociétal que politique, surtout pour de jeunes États qui se sont constitués en tant qu’institution. Il faut dire que la gestion de la mémoire du Togo, en commençant par le coup d’État de 1963, relève d’un acte politique. Or, le Togo n’a qu’une « Direction » de la Bibliothèque et des Archives Nationales et non une archive nationale séparée et logée dans une enceinte moderne. Le bâtiment actuel des archives – 876 m2, inauguré en 1984 – est un don de la coopération ouest-allemande. Comment arriver à fédérer les visions du passé, afin de bâtir une vision unifiée pour tous dans un État pareil ?

À l’heure des grands enjeux historiques, en lien avec la colonisation, avec des courants qui traversent tous les pays, de la France au Sénégal, en passant par le Mali ou au Niger, tous des pays qui réclament leur souveraineté eu égard aux liens trop étroits noués avec les anciens colonisateurs, il est temps que les dirigeants togolais fassent un sursaut d’orgueil et contribuent à ouvrir les archives du pays, voire à le doter d’un établissement national moderne et à la pointe de la technologie. Ainsi, l’Histoire retiendra leur nom. Dans le cas contraire, ils passeront sans traces, ce qui serait la pire des choses qu’on souhaiterait à un homme, voire à un regroupement d’hommes – liés par un contrat social – sur terre. Même le bon Dieu avait ordonné aux Israélites de conserver des archives sur leur traversée vers la Terre promise.

Kodzo Gozo, doctorant en histoire contemporaine des relations internationales, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne / Université Humboldt de Berlin

via libertetogo.tg

Mots clés: AssassinatSylvanus Olympio
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