Au lendemain de l’arrestation dans les conditions rocambolesques d’Agbéyomé Kodjo, les réactions de condamnations d’enchaînent.
Me François Boko est l’un des premiers acteurs politiques à réagir face à cette situation. Il a dénoncé à travers son compte Twitter un gangstérisme d’Etat.
« Enlèvement de Gabriel Agbeyomé Kodjo, encore une illustration du perpétuel gangstérisme d’Etat et de « démocrature » togolaise. Par quelle alchimie un contentieux électoral se retrouve-t-il en instruction dans un service d’investigation criminelle de la gendarmerie nationale? #Togo », a-t-il posté.
Et d’ajouter : « Le régime de Faure Gnassingbé en mal de légitimité gagnerait en crédibilité en ouvrant un dialogue politique pour solder le contentieux électoral de la présidentielle à la hussarde du 22 février 2020. Attention, à force de trop tirer sur la corde, elle peut finir par se briser ».François Boko (Officiel)@FrancoisBoko1
Enlèvement de Gabriel Agbeyomé Kodjo, encore une illustration du perpétuel gangstérisme d’Etat et de « démocrature » togolaise. Par quelle alchimie un contentieux électoral se retrouve-t-il en instruction dans un service d’investigation criminelle de la gendarmerie nationale? #Togo66Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité47 personnes parlent à ce sujet
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