• QUI SOMMES-NOUS ?
  • NOUS ECRIRE
dimanche, septembre 28, 2025
Togo Actualite - Premier site d'information du Togo
  • Login
Pas de résultat
Afficher tous les résultats
  • ACCUEIL
  • TOGO ACTUALITÉ
    • POLITIQUE
    • Actualités
  • Rubriques+
    • CHRONIQUES
    • Diplomatie
    • OPINION
  • DIASPORA
    • FENETRE SUR L’AFRIQUE
    • Fenêtre sur l’Afrique
  • ECONOMIE
  • INTERNATIONAL
    • AFRIQUE
    • MONDE
  • SPORT
    • CAN
    • TOGO
  • FORUM
  • INFOS PRATIQUES
  • ACCUEIL
  • TOGO ACTUALITÉ
    • POLITIQUE
    • Actualités
  • Rubriques+
    • CHRONIQUES
    • Diplomatie
    • OPINION
  • DIASPORA
    • FENETRE SUR L’AFRIQUE
    • Fenêtre sur l’Afrique
  • ECONOMIE
  • INTERNATIONAL
    • AFRIQUE
    • MONDE
  • SPORT
    • CAN
    • TOGO
  • FORUM
  • INFOS PRATIQUES
Pas de résultat
Afficher tous les résultats
Togo Actualite - Premier site d'information du Togo
Pas de résultat
Afficher tous les résultats
Vente illicite de terrains à Aflao Wougomé Dekpo : Les mandataires de la collectivité Attila-Gah dénonce les actes d’un faux mandataire

Togo : Le suicide collectif programmé par le bradage des terres

25 août 2025
dans SOCIÉTÉ
0 0
0
0
Partages
80
Vus
Partager sur FacebookPartager sur TwitterPartager sur Whatsapp

Dans une tribune alarmante, l’inspecteur de l’Éducation nationale à la retraite, Jean Siwanou Tokinlo-Amouzouvi, met en garde contre la vente anarchique des terres agricoles au Togo. Selon lui, ce phénomène, qui prive les paysans de leurs champs et hypothèque l’avenir des générations futures, constitue une véritable bombe à retardement pour la sécurité alimentaire du pays.

ALERTE ! ALERTE ! ALERTE ROUGE !!!
Un suicide collectif certain, programmé et ignoré
Par Jean Siwanou TOKINLO-AMOUZOUVI
Inspecteur de l’Education nationale à la retraite
Tél : 90043160/99611651
—————————————————-
Avons-nous conscience, en Afrique et particulièrement au Togo, que nous gaspillons nos terres, et que ce gaspillage risque de nous coûter très cher dans l’avenir ? Le monde est scientifique, la nature est scientifique, et nous devons la vivre scientifiquement. C’est en vivant scientifiquement que l’on identifie, ou même que l’on anticipe les problèmes inhérents à l’existence sur Terre. C’est dans ce sens que je salue la présence dans certains programmes de formation de base la méthodologie de la recherche, fondée sur : l’observation, l’expérimentation, les hypothèses, les lois, les principes, les théories, les formules, l’application, etc.
Généralement, lorsqu’on évoque le concept de sciences, l’idée s’envole vers les grandes découvertes et les inventions technologiques et scientifiques. Mais il y en a plus. 
La gestion de l’environnement dans sa globalité doit préoccuper au plus haut point les penseurs scientifiques. Au premier plan, la gestion de la Terre, l’un des quatre éléments de la Nature, à côté de l’Air, l’Eau et le Feu. Sans la Terre, point de vie. L’agriculture qui en découle constitue l’activité originale et originelle de l’humanité. Manger pour vivre. C’est pourquoi dans certains pays, une plus grande partie des budgets d’Etat est allouée au secteur agricole pour garantir la sécurité alimentaire. En Afrique, nos pays sont essentiellement agricoles. Les populations vivent de leurs activités de productions liées à la terre. Autrement dit, la matière première de cette production reste la terre cultivable. 
Lorsque nous entrons dans la théorie scientifique de la densité de la population qui consiste à faire une répartition théorique de la superficie d’un territoire par rapport à la population, nous arrivons à la notion de proportionnalité. La superficie d’un pays étant fixe, et à contrario, la population, variant surtout dans le sens d’un accroissement, le nombre de mètres carrés par habitant, quant à lui, diminue sans cesse. 
Cette vérité incontournable, les pays développés, surtout ceux de l’Occident, la connaissent depuis et l’impliquent dans leurs équations de gestion de la terre et de l’environnement afin de prévenir toute surprise préjudiciable liée à leur existence.
Pour ceux qui ont la chance de visiter certains pays occidentaux, comme par exemples la France et la Belgique (ne parlons pas des Etats Unis), et qui ont eu la chance de faire un peu de tourisme rural, ils pourront donner une appréciation beaucoup plus objective sur l’objet de mon développement. 
D’abord, lorsque vous survoler en avion le pays à basse altitude, parce que vous êtes proche d’arriver à destination et d’atterrir, vous remarquez trois types d’agglomérations : Une, bien grande, c’est une ville. Une, moyennement développée, c’est un village. Et Une beaucoup plus petite. C’est une ferme ou un ranch, faible concentration humaine avec quelques bâtisses habitables et comptables du bout des doigts, munis de greniers et d’enclos pour animaux. Par le biais de cette observation, je voudrais aborder et toucher la question de l’habitat.
En géographie, au cours primaire déjà, on nous avait appris qu’il existe deux types d’habitats : les habitats regroupés et les habitats dispersés. Les habitats regroupés sont caractérisés par une concentration de maisons dans un rayon défini de sorte qu’il n’existe pratiquement pas de grands espaces vides. Tandis que pour les habitats dispersés, les concessions individuelles sont très espacées les unes des autres et reliées par des sentiers. Ces derniers types d’habitats sont rares dans les pays occidentaux. Les villes et les villages y sont conçus en habitats regroupés. Surtout dans les grandes villes, une propriété qui s’ouvre sur une rue n’a pas plus de dix mètres. Elle peut toutefois évoluer en profondeur et en hauteur. Il en est de même pour les villages. La ferme quant à elle, est construite dans le but de surveiller les champs et les productions. Elle n’a pas vocation à évoluer pour devenir un village, encore moins une ville. Une ferme est une ferme, enfermée dans ses frontières originales, et entourée de vastes champs et exploitations.
Pour couper court, je dirai que dans les pays occidentaux, la politique foncière est telle, qu’un individu ne peut décider de son seul et propre chef de gaspiller la terre pour quelque motif que ce soit. Ce qui implique que les espaces exploitables, officiellement enregistrés, sont conservés pour de vastes champs de production de produits vivriers, des forêts intouchables, des pâturages pour bétail et autres programmes d’utilité publique. C’est ainsi qu’on a des villages et des fermes centenaires qui sont toujours enfermés dans leurs frontières originales ; du moins sans extension exagérée.
Dans nos pays africains et plus particulièrement au Togo, c’est le schéma contraire auquel nous sommes confrontés, favorisé et accéléré par une découverte magique conduisant à un enrichissement facile et rapide pour les uns, et à une accumulation hors pair de propriétés pour les autres. Il s’agit de la vente libre de terres. Les fermiers et les villageois ont découvert le sésame et n’hésitent pas à faire lotir leurs domaines champêtres et à les vendre à ceux qui en veulent.
Les jeunes jadis héritiers de vastes champs de leurs parents, aujourd’hui à la recherche d’une facilité pour survivre, n’hésitent pas à brader leurs possessions pour s’acheter des motos pour en faire des taxis en ville. Les conséquences de cette pratique sont multiples. L’exode rural avec ses prolongements est un gros dossier à traiter à part. 
Dans cet écrit, c’est la rareté artificielle des terres cultivables qui m’intéresse de traiter. Nos populations sont à 80% agricoles. Les habitants des villages et des fermes vivent des produits des champs. Et voilà que tous les terrains sont en train d’être vendus à tour de bras, achetés par des nantis des villes et de l’administration qui n’en font pas un usage immédiat. On achète, on clôture, on place un portail et on fixe un cadenas, point. Le paysan est dépossédé. Plus de terres, plus de champs. Or ce paysan a des enfants dont il ne peut anticiper l’avenir. Que leur laisserait-il ? Le grand écrivain français Edmond ABOUT n’a-t-il pas écrit : « Nous sommes les héritiers de tous ceux qui sont morts, les associés de tous ceux qui vivent, la providence de tous ceux qui naîtront. » ?
Analyser cette réflexion dans tout son contenu reviendrait à ouvrir un gros chapitre à plusieurs facettes, sur la base de la trilogie qu’elle propose. Il serait néanmoins opportun de souligner avec le message du futur Edmond ABOUT que, pour témoigner notre reconnaissance aux mille générations qui ont graduellement fait de nous ce que nous sommes, il faut perfectionner la nature humaine en nous et autour de nous. Parce que nous ne serons meilleurs et plus heureux que nos devanciers, que si nous faisons en sorte que notre progéniture soit meilleure et plus heureuse que nous. En effet, si nous existons aujourd’hui, c’est que nos ancêtres et parents avaient pensé à nous, en ce sens qu’il n’est pas d’homme si pauvre et si mal doué qui ne puisse contribuer, dans une certaine mesure, au progrès de ceux dont il est le géniteur. 
De notre côté, pensons-nous véritablement à l’avenir du monde et plus particulièrement à celui de nos progénitures ? Comme je l’ai déjà dit plus haut, je répète que dans nos pays, nous sommes essentiellement agricoles.
Gouverner, c’est prévoir. Et vivre c’est anticiper. A l’allure où vont les choses en matière de gestion de nos terres, que deviendra la vie dans nos campagnes à court, moyen et long terme ? Ne dit-on pas que : « C’est quand la campagne trouve à manger que la ville se rassasie » ? 
De Lomé à Aného, on ne peut pas parcourir un kilomètre de route sans voir installée, de manière isolée, une bâtisse. Pareil sur le tronçon Lomé-Tsévié et autres itinéraires. Bientôt, nous risquons de mourir de notre propre mort par la faim. Les prix des produits vivriers grimperont à tel point que, seule une minorité nantie pourrait s’en procurer. Ce serait un vrai désastre qui se perçoit déjà à l’horizon.  
Et pourtant, ce n’est un secret pour personne que dans notre pays, des gens se permettent de s’acheter des centaines d’hectares de terre, et qui deviennent leurs propriétés privées ; patrimoines que d’autres personnes ne pourront pas toucher. Dans le meilleur des cas, lorsqu’ils ont un peu plus de moyens, ils y construisent une maison plus ou moins grande qu’ils visitent de temps en temps, sinon très rarement. Simple gaspillage ! Existe-il une approche de solution ?
Si elle doit exister, l’approche de solution doit nécessairement passer par la politique. Il faut arriver un jour à avoir une Assemblée nationale attendue de tous leurs vœux par les Togolais ; une institution de la République véritablement représentative des élus du peuple qui initient et votent des lois et des textes sur le foncier et sur la gestion de nos terres, dans le sens de leur préservation.
L’une des prescriptions que ce parlement idéal devrait adopter, porterait sur l’expropriation systématique par l’Etat de toutes les terres cultivables, (surtout rurales inexploitées), contre bien sûr une indemnisation forfaitaire, lois, que l’Assemblée nationale idéale que les Togolais attendent de tous leurs vœux.
Si je fais cette proposition pour le long terme, sur la base de l’idée que je défends et qu’exprime si bien Edmond ABOUT, c’est que j’ai la ferme conviction qu’un jour viendra où notre pays sera doté d’une Assemblée nationale véritablement démocratique, issue d’élections libres et transparentes, représentant ainsi le peuple togolais qui se reconnaitrait enfin dans une institution de base. De ce fait, ledit peuple serait prêt à adhérer aux décisions qui en sortiraient.
Bien évidemment, une telle Assemblée nationale aura pour tâche de commander en amont, des études techniques relatives au domaine que j’évoque, en vue de dégager les conditions d’expropriation des terres par l’Etat auxquelles je fais allusion, (zone par zone, région par région), etc.
En conclusion, toutes les idées et préoccupations développées dans cet article ne sortiraient du domaine de l’utopie que si, comme nous l’avons évoqué plus haut, une volonté politique les accompagne et en constitue le socle. 
En attendant l’avènement d’une Assemblée nationale telle que nous l’envisageons, les autorités doivent suspendre les lotissements et ventes anarchiques des terres, surtout dans les villages et les fermes.
NOUS NE SERONS MEILLEURS ET PLUS HEUREUX QUE NOS DEVANCIERS, QUE SI NOUS FAISONS EN SORTE QUE NOTRE PROGENITURE SOIT MEILLEURE ET PLUS HEUREUSE QUE NOUS.

Article précédent

France : une décision judiciaire historique qui fait écho au Togo, selon l’ASVITTO

Prochain article

Marguérite Gnakadé: une leçon de courage et de patriotisme à un entourage véreux d´un pouvoir aux abois

D'autres Articles

Le ministre de la Santé et de l'Hygiène publique du Togo, Pr Tchin Darre
SANTE

Togo/Santé : le ministre Tchin Darre met en garde contre les dépassements tarifaires dans les hôpitaux publics

Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique met en garde contre des pratiques tarifaires jugées illégales dans certains...

par Info du pays
26 septembre 2025
Devenez élève-professeur au Togo : Ouverture des candidatures pour la promotion 2024-2026
EDUCATION

Togo/Enseignants admis : le ministère fixe un ultimatum pour la prise de service

Le ministère des Enseignements primaire et secondaire a adressé, vendredi 26 septembre 2025, une mise en garde ferme aux enseignants...

par Info du pays
26 septembre 2025
Togo : les sujets évoqués à la 136e session ordinaire de la CET
SOCIÉTÉ

Mois d’octobre : l’appel pressant des Évêques pour le Togo

En ce mois d’octobre, consacré à la prière du Rosaire, la Conférence des Évêques du Togo (CET) appelle les fidèles...

par Info du pays
26 septembre 2025
Togo : Une campagne nationale de vaccination gratuite contre la rage pour chiens et chats
SANTE

Togo : Une campagne nationale de vaccination gratuite contre la rage pour chiens et chats

Le Togo se mobilise ce week-end contre la rage. À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre cette maladie...

par Info du pays
26 septembre 2025
Moussa Barqué
SOCIÉTÉ

Togo / Électricité: Le chantier de la Centrale solaire de Dapaong financé à 60,5 millions d’euros par la Banque Mondiale peine à démarrer…

Depuis vingt ans, le Togo vit au rythme des cérémonies de lancement de chantiers : poses de première pierre, coups...

par Info du pays
26 septembre 2025
Prochain article
Marguerite Essozimna GNAKADÉ

Marguérite Gnakadé: une leçon de courage et de patriotisme à un entourage véreux d´un pouvoir aux abois

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

FACEBOOK

A Lire aussi...

Le ministre de la Santé et de l'Hygiène publique du Togo, Pr Tchin Darre

Togo/Santé : le ministre Tchin Darre met en garde contre les dépassements tarifaires dans les hôpitaux publics

26 septembre 2025
Devenez élève-professeur au Togo : Ouverture des candidatures pour la promotion 2024-2026

Togo/Enseignants admis : le ministère fixe un ultimatum pour la prise de service

26 septembre 2025
Togo : les sujets évoqués à la 136e session ordinaire de la CET

Mois d’octobre : l’appel pressant des Évêques pour le Togo

26 septembre 2025
Togo : Une campagne nationale de vaccination gratuite contre la rage pour chiens et chats

Togo : Une campagne nationale de vaccination gratuite contre la rage pour chiens et chats

26 septembre 2025
Togo Actualite - Premier site d'information du Togo

Sans partenariat avec togoactualite.com, la reprise des articles même partielle est strictement interdite.
Nous poursuivons tout contrevenant

Nous sommes Togo Actualité, l’information en temps réel sur le Togo et l’Afrique.
Les raisons de la création du site togoactualite sont plusieurs :

Fournir les informations fiables sans déformation via notre site internet.
Permettre à la diaspora togolaise d’être informée de ce qui se passe dans notre cher pays.
Nouer des partenariats avec d’autres sites d’information.
Faire mieux connaître notre Togo à travers des débats, vidéos, nos cultures, etc…
Permettre à nos abonnés de nous suivre et d’animer des débats dans le respect.

Nos Rubriques

  • A ne pas rater Togo
  • Actualités
  • AFRIQUE
  • CAN
  • CHRONIQUES
  • Communiqué
  • COOPÉRATION
  • CULTURE
  • DIASPORA
  • Diplomatie
  • ECONOMIE
  • Editorial
  • EDUCATION
  • FAITS DIVERS
  • FENETRE SUR L'AFRIQUE
  • Fenêtre sur l'Afrique
  • HIGH TECH
  • IMPORTANT
  • INTERNATIONAL
  • Interview
  • JUSTICE
  • MEDIA
  • MONDE
  • NÉCROLOGIE
  • OPINION
  • POLITIQUE
  • Rubriques+
  • SANTE
  • SOCIÉTÉ
  • SPORT
  • Sports
  • TOGO
  • TOGO ACTUALITÉ
  • vidéos

Toute l’actualité togolaise

INFO PLUS

  • All
  • Interview
  • POLITIQUE
Togo : Le gouvernement interdit un meeting de la DMK à Adétikopé

Togo : Le gouvernement acte la dissolution de la DMK

26 septembre 2025
Caricature: Donisen Donald / Liberté

Togo: Arrestations en cascade contre vrais enjeux du développement

26 septembre 2025
Yves Edoh Agbodjan, alias Togbevi Kpéssé

Yves Edoh Agbodjan, alias Togbevi Kpéssé précise les objectifs de la délégation du M66 à New York (Interview)

25 septembre 2025

Communes du Togo happées aussi par l’oubli volontaire de renouvellement des institutions ?

24 septembre 2025
Togo- Voici la situation désastreuse que vit le peuple togolais, présentée par le M66 à New York

Togo- Voici la situation désastreuse que vit le peuple togolais, présentée par le M66 à New York

23 septembre 2025
  • QUI SOMMES-NOUS ?
  • NOUS ECRIRE

© 2021 Togoactualite — Tous droits réservés

Welcome Back!

OR

Login to your account below

Forgotten Password?

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In
Pas de résultat
Afficher tous les résultats
  • ACCUEIL
  • TOGO ACTUALITÉ
    • POLITIQUE
    • Actualités
  • Rubriques+
    • CHRONIQUES
    • Diplomatie
    • OPINION
  • DIASPORA
    • FENETRE SUR L’AFRIQUE
    • Fenêtre sur l’Afrique
  • ECONOMIE
  • INTERNATIONAL
    • AFRIQUE
    • MONDE
  • SPORT
    • CAN
    • TOGO
  • FORUM
  • INFOS PRATIQUES

© 2021 Togoactualite — Tous droits réservés