Cette hausse des prix vise à améliorer les conditions de travail des artisans de la coiffure, de la tresse et de l’esthétique, qui se disent en grande difficulté. « Nos frais de prestations sont insignifiants et nous n’arrivons pas à nous en sortir. Nous n’avons pas accès à la protection sociale, aux pensions vieillesse et à l’assurance maladie universelle. Nous sommes exposés à des maladies liées aux produits chimiques et aux longues heures en position debout », a expliqué Mme Angèle Aziabou, Présidente de l’Union des organisations professionnelles des artisans d’hygiène et soins corporels du Togo (UOPAHCT).
À ces difficultés s’ajoutent la hausse des prix des produits et équipements nécessaires à l’exercice de leur métier, rendant leur travail encore plus précaire.
Le forum, placé sous le thème « Harmonisation des frais de prestation des différents services dans le secteur de la beauté », a permis aux organisations professionnelles (SYNATSCETO, ACTC, DELFRACTO, CTE, SYNATRECTO, UNSYNCOIFTO, SYNATRESTO, etc.) de travailler en commissions pour établir une grille tarifaire harmonisée.
Les travaux ont été répartis en quatre commissions selon les spécialités : coiffure homme, coiffure dame, tresse et esthétique. Après un inventaire des prestations existantes, des prix révisés à la hausse ont été validés en séance plénière.
Si la décision d’augmenter les tarifs est désormais actée, son application reste un défi majeur. Les responsables de l’UOPAHCT comptent sur des campagnes de sensibilisation pour informer le grand public et les professionnels du secteur des nouveaux prix. L’objectif est de garantir des revenus plus décents aux artisans tout en assurant la viabilité économique du secteur de la beauté au Togo.
Les nouveaux tarifs validés ont été publiés et seront progressivement mis en application dans tout le pays.
Les professionnels du secteur de la beauté au Togo ont décidé d’augmenter les tarifs de leurs prestations. La décision a été prise lors d’un forum tenu le mercredi 12 mars à la Chambre régionale des métiers du District autonome du Grand-Lomé (CRM-DAGL). Cette rencontre a rassemblé les premiers responsables et porte-voix des organisations syndicales du secteur.
Cette hausse des prix vise à améliorer les conditions de travail des artisans de la coiffure, de la tresse et de l’esthétique, qui se disent en grande difficulté. « Nos frais de prestations sont insignifiants et nous n’arrivons pas à nous en sortir. Nous n’avons pas accès à la protection sociale, aux pensions vieillesse et à l’assurance maladie universelle. Nous sommes exposés à des maladies liées aux produits chimiques et aux longues heures en position debout », a expliqué Mme Angèle Aziabou, Présidente de l’Union des organisations professionnelles des artisans d’hygiène et soins corporels du Togo (UOPAHCT).
À ces difficultés s’ajoutent la hausse des prix des produits et équipements nécessaires à l’exercice de leur métier, rendant leur travail encore plus précaire.
Le forum, placé sous le thème « Harmonisation des frais de prestation des différents services dans le secteur de la beauté », a permis aux organisations professionnelles (SYNATSCETO, ACTC, DELFRACTO, CTE, SYNATRECTO, UNSYNCOIFTO, SYNATRESTO, etc.) de travailler en commissions pour établir une grille tarifaire harmonisée.
Les travaux ont été répartis en quatre commissions selon les spécialités : coiffure homme, coiffure dame, tresse et esthétique. Après un inventaire des prestations existantes, des prix révisés à la hausse ont été validés en séance plénière.
Si la décision d’augmenter les tarifs est désormais actée, son application reste un défi majeur. Les responsables de l’UOPAHCT comptent sur des campagnes de sensibilisation pour informer le grand public et les professionnels du secteur des nouveaux prix. L’objectif est de garantir des revenus plus décents aux artisans tout en assurant la viabilité économique du secteur de la beauté au Togo.
Les nouveaux tarifs validés ont été publiés et seront progressivement mis en application dans tout le pays.

