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Togo/Massacres de juin : Faure Gnassingbé au banc des accusés

« Ni paix, ni pain » : Dans le nord du Togo, l’état d’urgence dure depuis trois ans

29 juillet 2025
dans POLITIQUE
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Depuis juin 2022, la région des Savanes, dans le nord du Togo, vit sous état d’urgence. Cette mesure exceptionnelle vise à faire face à la menace djihadiste venue du Sahel voisin. Mais elle a contribué à plonger une population déjà appauvrie dans une précarité extrême. Les espoirs d’un retour à la normale s’amenuisent, tandis que la riposte militaire s’intensifie. Reportage.

À Koundjoaré, il est 18 h 30. Lorsque le muezzin lance l’appel à la prière du soir, les rues se vident en quelques minutes. Des ombres furtives, des concessions closes. Quelques moutons se faufilent entre les hangars déserts du marché. « Depuis trois ans, la nuit est ennemie », confie un habitant qui préfère rester anonyme. Ici, comme ailleurs dans la région des Savanes, dans le nord du Togo, l’état d’urgence sécuritaire en vigueur a profondément bouleversé les rythmes de vie et les libertés. Dans ce climat de tension, l’armée togolaise reste en alerte maximale.

Le 8 juin, elle a neutralisé un groupe de djihadistes à Kpinkankandi, dans la préfecture de Kpendjal, une zone très exposée aux attaques. Plusieurs dizaines d’assaillants ont été tués, et un important arsenal saisi : des armes, des munitions et près d’une cinquantaine de motos, selon le site d’information republicoftogo.com1. Cette opération est intervenue quelques jours après la participation du Togo à la deuxième édition de l’exercice militaire Tarha-Nakal (« Amour de la patrie », en tamachek), qui s’est tenu à Tillia, au Niger, du 15 mai au 4 juin. Organisé dans le cadre de l’Alliance des États du Sahel (AES), cet exercice visait à renforcer la coordination opérationnelle des forces armées de ses pays membres, le Niger, le Mali et le Burkina Faso. Pour le Togo, qui n’appartient pas à l’AES mais en est un partenaire stratégique, cette participation s’inscrit dans une logique de coopération régionale face à une menace djihadiste transfrontalière.

Jusqu’en 2019, peu de Togolais imaginaient voir un jour les djihadistes atteindre leur pays. Mais le 15 mars 2019, un poste mobile de douane est attaqué dans le centre-est du Burkina Faso, à Nouaho (province du Boulgou), non loin des frontières avec le Ghana et le Togo, faisant cinq victimes, dont un prêtre espagnol. Trois ans plus tard, la région des Savanes est devenue un avant-poste de la guerre contre la nébuleuse djihadiste, qui, progressivement, a franchi les limites du Sahel et s’est répandue vers les pays du golfe de Guinée.

Quatre ans de détérioration continue

Dans la nuit du 9 au 10 novembre 2021, des hommes armés mènent une attaque contre un poste avancé du village de Sanloaga (préfecture de Kpendjal), sans faire de victime. C’est la première attaque sur le sol togolais. Selon le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, Yark Damehame, les assaillants ont été repoussés, et des renforts ont été déployés sur place. La crise sécuritaire vient de commencer. Elle s’installera dans la durée.

Si l’incursion de Sanloaga est perçue comme une simple alerte, la suite va rapidement démentir les plus optimistes. Moins de six mois plus tard, la menace se concrétise brutalement : dans la nuit du 10 au 11 mai 2022, une attaque coordonnée cible un poste avancé des forces armées togolaises à Kpinkankandi, dans la préfecture de Kpendjal. Le bilan est lourd : huit militaires sont tués, treize blessés, et des dégâts matériels sont enregistrés. À travers un communiqué du ministre de la Sécurité, le gouvernement togolais condamne cette attaque « lâche et barbare » et invite les populations à accroître leur vigilance sans céder à la panique. Le Togo paie pour la première fois le prix du sang face à un ennemi jadis lointain.

Depuis, la situation sécuritaire dans la région des Savanes peine à s’améliorer. Située dans l’extrême nord du pays, cette région couvre 8 602 km2 et accueille environ 550 000 habitants, qui vivent essentiellement d’agriculture, d’élevage et de petit commerce. Longtemps abandonnée, elle peine à surmonter son enclavement, et l’accès aux infrastructures de base y est faible, en dépit des récents efforts du gouvernement.

« Une expansion délibérée et stratégique »

Selon un rapport de la Fondation Konrad-Adenauer publié en mars 20252, les incidents armés se sont multipliés à un rythme soutenu dans les quatre préfectures de Kpendjal, Kpendjal-Ouest, Tône et Oti. « Depuis la fin 2023, les groupes armés ne se contentent plus de frapper les localités situées sur la frontière directe avec le Burkina Faso. Ils se projettent désormais en profondeur dans le territoire togolais, en visant des cantons situés plus au sud. Des attaques ont été également enregistrées dans les préfectures de l’Oti et l’Oti-Sud. », écrivent les auteurs du rapport.

Fin novembre 2023, le gouvernement déclarait avoir enregistré 21 attaques depuis le début de la crise avec un bilan de 31 morts, 29 blessés et 3 disparus. Les informations recueillies par l’organisation indépendante Armed Conflict Location & Event Data (Acled), et relayées par le quotidien français Le Monde du 20 juillet 2023, répertorient 14 attaques pour les six premiers mois de cette même année, avec un total de 66 personnes tuées. Les violences ciblent à la fois les positions militaires et les villages civils, et sont souvent accompagnées de l’utilisation d’engins explosifs improvisés pour retarder ou compliquer l’intervention de l’armée. Le rapport de la Fondation Konrad-Adenauer souligne que, depuis l’an dernier, la zone d’action des groupes terroristes s’est élargie. La progression des opérations du JNIM (Jamāʿat nuṣrat al-islām wal-muslimīn, en français Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, GSIM) – qui avait revendiqué l’attaque de Kpinkankandi en mai 2022 – constitue, selon Acled, « une expansion délibérée et stratégique plutôt qu’un simple débordement ».

Parmi les groupes djihadistes opérant au Togo figurent également Ansarul Islam (la filiale burkinabè du JNIM), l’État islamique au Sahel (EIS) et divers groupes non identifiés. Bien qu’aucune portion du territoire togolais ne soit occupée par les groupes armés, cinq ans après les premières attaques, on constate d’importants mouvements de population. Selon le Programme d’urgence de renforcement de la résilience et de la sécurité des communautés (Purs), 8 986 personnes étaient enregistrées comme déplacées internes dans les localités de Dapaong, Mandouri, Tchimouri, Ponio, Tambonga et Korbongou en mars 2024. À ce chiffre s’ajoutent 36 984 réfugiés venus du Burkina Faso, selon la même source.

Silence sur les opérations militaires

Après avoir enregistré deux attaques en six mois, les autorités togolaises comprennent que la menace va s’enraciner. Réuni en Conseil des ministres le 13 juin 2022, le gouvernement place la région des Savanes sous état d’urgence sécuritaire. Pour l’exécutif, il s’agit de « créer un environnement et les conditions propices aux mesures administratives et opérationnelles nécessaires à la bonne conduite des opérations militaires, au maintien de l’ordre et de la sécurité dans cette région ». Cette mesure exceptionnelle, censée donner plus de marge de manœuvre à l’armée pour riposter, contenir les infiltrations et protéger les populations, va bouleverser durablement la vie quotidienne des habitants. Couvre-feu nocturne, interdiction de se rassembler, multiplication des check-points et renforcement des patrouilles réorganisent la vie sociale.

Malgré un déploiement militaire massif, à travers l’installation de plusieurs nouveaux postes militaires, le creusement d’une tranchée le long de la frontière avec le Burkina Faso et les restrictions imposées par l’état d’urgence, les groupes armés ne plient pas. Ils semblent plutôt adapter leurs modes opératoires, contournant les obstacles pour frapper plus durement et plus en profondeur. Dans la nuit du 15 au 16 juillet 2022, plusieurs villages de la préfecture de Kpendjal (Blamonga, Lidoli, Sankortchagou, Kpembole, Tiwoli) sont la cible d’attaques coordonnées d’une violence inouïe. Cette fois-ci, les victimes ciblées sont des civils soupçonnés, selon certains de leurs proches, d’être mêlés à une affaire de bœufs arrachés à des éleveurs transhumants par les militaires de l’opération Koundjoaré. On dénombre une vingtaine de morts, égorgés. Le chef de l’État, Faure Gnassingbé, se rend au chevet des familles endeuillées.

Face à la brutalité de l’événement, le gouvernement opte pour le silence. Aucune communication officielle ne sera plus faite désormais sur les opérations sécuritaires en cours. Pourtant, les attaques se multiplient de jour comme de nuit : embuscades, engins explosifs improvisés (EEI), enlèvements de civils, vols de bétail… D’abord circonscrite à quelques localités de la préfecture de Kpendjal, la crise sécuritaire s’étend progressivement pour atteindre les préfectures de Kpendjal-Ouest, Tône, Oti et Oti-Sud. Le front de la menace gagne l’ensemble de la région des Savanes avec, pour corollaire, le déplacement massif des populations vers des zones plus sécurisées.

« Cette année, c’est vraiment la pire »

À Koundjoaré, chef-lieu du canton du même nom, commune de Kpendjal 1, le grand marché de bétail est fermé à cause de l’insécurité. Le plus important canton de la commune, qui tire l’essentiel de son dynamisme de l’agriculture et de l’élevage, s’asphyxie. Avec l’intensification des attaques en 2022, la plupart des habitants des villages voisins originaires des préfectures de Tône et de Cinkassé, ont préféré regagner leurs villages d’origine. On compte plus de 2 800 déplacés, selon des sources officielles.

Il est un peu plus de midi. Sous un hangar de fortune en tôle ondulée, au cœur du marché, un petit groupe discute autour d’une revendeuse de tchapalo, la bière locale. Tout autour, le marché peine à s’animer. Étals clairsemés, visages fermés… tout raconte une économie à bout de souffle. Sous le hangar, les discussions tournent autour de la saison des pluies qui s’annonce. Les femmes s’inquiètent du prix élevé des intrants agricoles (engrais, semences, pesticides), alors même que les produits de leurs récoltes peinent à trouver preneurs. L’équation est insoluble pour ces familles qui vivent à la fois de la terre et du marché.

Près d’un comptoir en bois, une femme s’essuie le front, un bébé au dos, une bassine posée devant elle contenant un sac de jute plein aux trois quarts. La charge a laissé des marques sur ses épaules meurtries. Elle s’appelle Minyém. Âgée d’une quarantaine d’années, elle a rapporté d’une ferme voisine du riz local à vendre. Elle espérait en tirer au moins 350 francs CFA (50 centimes d’euro) la mesure de trois kilos. Mais, devant l’indifférence des rares passants, elle a dû revoir ses ambitions à la baisse. Même à 300 francs, les clients se font désirer : « J’ai cru qu’en ville j’aurais mieux. Mais regarde. Même ici, personne n’achète. »

Sous le hangar aux piliers poussiéreux, entre deux éclats de voix, un homme, la cinquantaine, renchérit : « Le jour du marché surpassé, mon épouse a eu le même souci. Elle avait amené deux sacs de 100 kg de riz pour les vendre, parce qu’elle préparait les funérailles de sa tante. Mais elle n’a pas trouvé de client. Finalement, une commerçante de Dapaong [le chef-lieu de région, NDLR] lui a proposé de lui acheter le riz à crédit, d’aller le décortiquer et de revenir plus tard avec le produit de la vente. On ne sait même pas quand ! » Il soupire, comme pour chasser l’impuissance, et conclut, amer : « Cette année, c’est vraiment la pire. »

Morosité générale, en ville comme en campagne

Du riz au maïs en passant par le sorgho ou le petit mil, les prix des céréales ont chuté. Et pourtant, dans cette région essentiellement agricole, l’hivernage a commencé et, avec lui, les besoins des cultivateurs qui explosent : semences, engrais, petits travaux agricoles… Il faut dépenser pour produire mais l’argent ne circule plus. Pour le monde rural, les restrictions des déplacements, le renforcement des contrôles au niveau des check-points, tous les freins à la circulation des marchandises ont entraîné une forme de torpeur commerciale. « Beaucoup de transporteurs rechignent à venir ici. Trop de barrages, trop de risques », souffle un commerçant de bétail.

Si les campagnes bradent leurs récoltes, les centres urbains ne sont pas mieux lotis. La ville subit, elle aussi, les contrecoups de l’état d’urgence. Activités économiques ralenties, vie culturelle à l’arrêt… l’asphyxie est palpable. À Dapaong, la vivacité d’antan n’est plus qu’un souvenir. Sur les grandes artères, les motos-taxis attendent le client. Les restaurants et buvettes, autrefois animés jusque tard dans la nuit, ferment plus tôt. Le secteur de l’hébergement peine à remplir ses chambres. « Pas d’événement, pas de clients », explique un gérant d’hôtel. La région, classée désormais en zone rouge, voit les ateliers de formation et les colloques lui échapper au profit de Kara, à 200 km plus au sud. Un coup dur pour l’économie locale.

La situation est tout aussi morose pour les artistes, surtout de scène. Fin 2024, quelques concerts organisés à l’initiative des autorités avaient suscité un brin d’optimisme dans les milieux culturels. Certains y voyaient les prémices d’un assouplissement, un possible retour progressif à la normale. Mais ça n’a pas duré. En février 2025, une note du gouverneur de la région des Savanes, Affoh Atcha-Dédji, est venue brutalement refermer la parenthèse. Adressée aux préfets et aux maires, à l’issue d’une rencontre consultative élargie aux responsables des forces de l’ordre et de sécurité, aux chefs traditionnels, aux autorités religieuses et aux prédicateurs, la circulaire rappelait le strict maintien des mesures de l’état d’urgence. Elle soulignait, notamment, l’interdiction des activités au-delà de 20 heures, qu’il s’agisse de mariages, de veillées funèbres, de prières nocturnes ou même de simples soirées dans les bars. Même le carême musulman n’a pas échappé aux restrictions, les appels des muezzins n’étant désormais tolérés que dans les grandes mosquées de quartier.

« Sans scène, on ne vit pas »

Pour les acteurs culturels, ce rappel est un coup de massue. « Il est quasi impossible d’organiser un spectacle qui doit se terminer à 20 heures. Et sans scène, on ne vit pas », déplore Souleymane Inoussa, slameur et président de l’Association des acteurs culturels de la région. Peu de voix, cependant, s’élèvent pour critiquer ouvertement l’état d’urgence. Pour certains, c’est un moindre mal face au risque de propagation de l’insécurité djihadiste. « Nous comprenons la nécessité de la sécurité. Mais, aujourd’hui, nous n’avons ni paix, ni pain », regrette un leader communautaire.

Appuyé par ses partenaires, plusieurs agences onusiennes3 et l’Union européenne (UE) notamment, le gouvernement multiplie les actions pour soutenir les populations : distribution de semences et d’intrants agricoles, distribution d’aide alimentaire à plus de 60 000 personnes, renforcement de l’accès à l’eau potable et aux soins. Depuis fin juin 2025, le Purs vise à conjuguer assistance humanitaire et autonomisation des personnes déplacées, à travers des travaux à haute intensité de main-d’œuvre (programme Himo) pour réaliser des infrastructures locales.

Dans les campagnes reculées, on survit grâce à des activités précaires et souvent dangereuses, loin des radars de l’aide. « Les enfants n’ont pas de boulot. Nous avons pourtant besoin d’acheter la cola, du tchapalo et du savon. Où allons-nous trouver l’argent si nous restons à la maison ? Voilà pourquoi nous sommes ici », s’exclame, assise au bord de la rivière de Kpadjenta, une femme d’une soixantaine d’années, pagne noué haut sur la taille. Elle regarde ses petits-enfants remplir des bassines de sable. Depuis plusieurs semaines, elle revient quotidiennement sur ce site avec eux. « Au bout d’une semaine, on peut faire un tas et le vendre à 2 000 francs [environ 3,5 euros, NDLR]. »

Dans certaines localités des préfectures de Kpendjal et de l’Oti, la coupe du bois ou la production du charbon de bois ne sont plus des activités d’appoint. Elles sont devenues la principale source de revenus de familles entières. Mais, dans cette région où les engins explosifs improvisés jonchent les sentiers et où les incursions armées sont une menace constante, gagner sa vie signifie désormais la risquer.

Source : mediapart.fr/Robert Kanssouguibe Douti

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