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Mort de 10 casques bleus au Mali : Faure Gnassingbé attristé et indigné

Gouvernance Faure Gnassingbé : Embargo sur les libertés politiques, civiques et syndicales

22 avril 2022
dans POLITIQUE
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La Redaction21/04/2022

Les observateurs avertis l’ont compris, avec l’acharnement contre les responsables du Syndicat des enseignants du Togo (SET) dont trois (03) sont arrêtés et déposés en prison. Le pouvoir RPT/UNIR est décidé à décapiter cette organisation syndicale et ainsi étouffer toute voie contestataire dans le milieu de l’enseignement. Et ce n’est que la suite logique de sa volonté de restriction des libertés tous azimuts. Autant les partis politiques que les organisations de la société civile non acquis à sa cause sont persécutés. Toute chose qui ramène le Togo « 100 ans en arrière ».

Depuis le lundi 11 avril, trois des responsables du SET à savoir, Kossi KOSSIKAN, Joseph TOYOU et Ditorga Sambara BAYAMINA, respectivement Secrétaire Général adjoint, Secrétaire régional Savanes et Délégué Grand Lomé, arrêtés le 8 avril et en garde-à-vue dans les locaux du Service central de recherches et investigations criminelles (SCRIC), sont placés sous mandat de dépôt par le doyen des juges d’instruction du tribunal de Lomé. Il leur est reproché d’avoir incité les élèves et autres personnes à la révolte, par des promesses, menaces, ordres ou tous signes de ralliement, avec en toile de fond, un communiqué du 30 mars 2022 non signé, concernant la prorogation de la grève et appelant les parents d’élèves à envoyer leurs enfants manifester et ces derniers à soutenir les enseignants. L’un d’entre eux, Ditorga Sambara BAYAMINA, est même entré en grève de la faim. Loin d’être un acte isolé, cet agissement du pouvoir s’inscrit dans un plan formel de bâillonnement des voix discordantes dans le milieu de l’éducation.

C’est cette volonté qui transparait dans l’acharnement ostentatoire dont est l’objet le SET et les misères faites à ses responsables, le reste n’est que diversion de la part du pouvoir en place. Dieu sait quand les trois leaders syndicaux seront libérés. L’illégalité et les griefs avancés pour justifier leur arrestation ne sont qu’un prétexte pour noircir ce syndicat et clouer au pilori ses responsables. D’ailleurs une dizaine d’organisations de la société civile, parmi lesquelles la Ligue togolaise des droits de l’Homme (LTDH) et l’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) ont démonté l’argumentaire du gouvernement et prouvé la légalité du SET, dans un communiqué conjoint daté du 11 avril dernier. Au moins cent quarante-six (146) enseignants grévistes, faut-il le rappeler, ont été relevés de la fonction enseignante et mis à la disposition de l’administration.

Cet acharnement du régime a un seul objectif : étouffer les voix contestataires dans le milieu de l’éducation, après avoir réussi à « apprivoiser » tacitement la Synergie des travailleurs du Togo (STT) avec sa formalisation en centrale syndicale. Le premier acte s’est déjà joué en janvier 2021 lorsque des responsables du SET naissant ont été cueillis en pleins travaux de discussions au siège de la STT sis à Avenou à Lomé par les éléments du Service central de recherches et d’investigations criminelles (SCRIC). C’est le prétexte de manque d’existence légale qui avait été aussi avancé à l’époque par leurs détracteurs. Et c’est toujours cet argument qui sous-tend les misères faites encore aujourd’hui à ses responsables. Le SET est l’organisation syndicale qui parvient encore à mobiliser dans le milieu enseignant et il faut la casser à tout prix. Le pouvoir ne voudrait surtout pas s’arrêter en si bon chemin, après avoir réussi à bannir tacitement, du moins restreindre le droit de grève avec le nouveau code du travail et corsé les conditions de représentativité des organisations de travailleurs. Il ne veut décidément plus de syndicat qui lui tirerait les poils du nez. Et tous ceux qui s’inscriraient dans cette dynamique seront traqués.

Bâillonnement de la société civile gênante

On rapportait dans la parution de lundi passé les mésaventures des Universités sociales du Togo (UST), sous le titre « Klotchome Edouhoue (Canton d’Asrama, Préfecture de Haho) : Le préfet exige des UST l’autorisation de Payadowa Boukpessi pour offrir au village des latrines et une installation solaire ». Alors que cette structure coordonnée par le Prof David Dosseh voulait organiser un camp jeunesse à Asrama et construire au bénéfice des habitants de la localité de Klotchome Edouhoue trois (03) cabines de latrines et une installation solaire afin de suppléer le manque d’électricité dans la localité, un projet d’un million sept cent mille (1 700 000) FCFA, elle a été bloquée dans sa volonté par le préfet de Haho, Awo Tchangani, qui a exigé de ses responsables l’autorisation préalable du ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et du Développement des territoires. Assez regrettable. Et on peut comprendre la désolation du Coordonnateur des UST, Prof David Dosseh, outré «par ce genre d’autorités locales qui, au lieu de penser au développement et à l’épanouissement de leurs populations, sont là à servir, surtout de façon zélée, un pouvoir central ».

Loin d’un empêchement isolé, cet agissement du préfet s’inscrit dans le plan d’étouffement des OSC hostiles, en tout cas qui ne sont pas acquises à la cause du pouvoir, chantent les louanges du « Prince », accompagnent de fait le régime dans ses travers, du genre de celles qui chantent hypocritement la paix, la réconciliation, le dialogue et se murent en silence devant les cas d’arbitraire. Les UST ne sont pas une aile marchante du parti au pouvoir, c’est une lapalissade ; elles sont dans la défense et la promotion de la démocratie et ses vertus régaliennes, le respect des droits de l’Homme, de la dignité humaine, la lutte contre l’injustice, autant de vertus qui constituent le tendon d’Achille du pouvoir en place. Et toutes les organisations de la société civile qui sont dans cette dynamique sont simplement des cibles à abattre et étouffées dans le déploiement de leurs activités. Le Front citoyen Togo Debout (FCTD) n’est-il pas empêché, au nom de la lutte contre la pandémie du coronavirus, d’organiser un simple meeting pour soutenir le Président de la Cour suprême Abdoulaye Yaya dans sa volonté d’assainir la justice ? La coalition Tournons La Page, la (LTDH), l'(ASVITTO), toutes ces organisations de défense des droits de l’Homme et de la dignité humaine sont étouffées dans le déploiement de leurs actions visant pourtant à concourir à bâtir un Togo paisible, traquées même avec une existence légale, des portes leur sont fermées…Pendant ce temps, les OSC bleues ont toute la latitude de mener les leurs…

Les partis et leaders politiques à abattre

« Depuis que le régime nous a poursuivis, arrêtés, je dirais même condamnés depuis la préélection du 22 février 2020, ils n’ont pas cessé. Ils n’ont pas cessé de nous poursuivre et de poser des actes que nous-mêmes nous ne prenons pas le temps d’expliquer. Nous subissons beaucoup de choses. Nos militants, que ce soit des enseignants, partout, ils ont été tous affectés. Tous ceux qui nous ont aidés pendant les campagnes ont été affectés, déplacés, (…) menacés partout au point que les gens n’ont même plus de capacité pour rester dans ces milieux (…) On est poursuivis, on n’a pas la tranquillité. Ce n’est pas ici seulement. Dans nos déplacements, chez nous, il y a toujours des gens qui tournent. C’est comme si à la DMK, nous étions un mouvement terroriste, on ne comprend rien (…) Ils sont les seuls qui comprennent la gouvernance de la peur qu’ils sont en train de mener au Togo ».

Le Vice-Coordonnateur de la Dynamique Monseigneur Kpodzro (DMK), Targone Sambiri N’wakin se plaignait, mercredi 6 avril dernier, au cours de leur conférence de presse sur l’arrêt de la Cour de justice de la CEDEAO dans le contentieux Agbeyome Kodjo contre Etat togolais, de l’acharnement dont sont l’objet les leaders, militants et sympathisants du regroupement politique de la part du régime. La preuve palpable, pour cette conférence de presse, ils ont eu à subir les intimidations des forces de l’ordre déployées au CESAL qui ont tenté de leur exiger une autorisation pour l’organisation de cette rencontre avec la presse. La DMK représente la tête de gondole des organisations politiques à abattre à tout prix et empêcher de mener leurs activités.

Depuis la présidentielle du 22 février 2020 où ce regroupement a porté la candidature d’Agbeyome Kodjo et l’ouverture du contentieux électoral, ses leaders sont dans l’œil du cyclone et l’objet de persécutions. Son « Président démocratiquement élu » a dû prendre ses jambes à son cou pour échapper à son arrestation suite au mandat d’arrêt lancé contre lui, après la levée de son immunité et sa première interpellation. Le père spirituel de la DMK, Mgr Kpodzro est aussi contraint à l’exil. La Coordinatrice Générale, Mme Brigitte Adjamagbo-Johnson et le chargé des Droits de l’Homme Gérard Djossou ont été arrêtés et bâillonnés par la suite. Paul Missiagbeto, le Conseiller à la jeunesse du Président du Mouvement patriotique pour la démocratie et le développement (MPDD) n’est sorti que récemment de prison. Jean-Paul Oumolou, l’activiste de ce regroupement politique, lui, y est encore. Djimon Oré ancien ministre et Président du Front des Patriotes pour la Démocratie ( FPD), est jeté en prison… Ce sont en fait tous les partis politiques qui s’inscrivent dans la contestation de la gouvernance de Faure Gnassingbé, la dénonciation des violations, de l’arbitraire, la promotion de la démocratie, de l’alternance et des vertus y liées qui sont persécutés. Le Parti national panafricain (PNP) et ses militants en savent quelque chose. Tout est bon pour les arrêter. Ses partisans sont plus nombreux parmi la centaine de prisonniers politiques, depuis la révolte populaire initiée par leur Président Tikpi Atchadam en 2017. Tous les moyens sont bons pour les arrêter, comme l’affaire « Tigre Révolution ». Certains sont à l’article de la mort ; mais les appels à leur libération n’ont pas d’effet.

C’est une véritable OPA (offre publique d’achat) entendu confiscation sur des libertés politiques, civiques, syndicales et autres au Togo par le régime. Les partis politiques, OSC, syndicats ou citoyens qui veulent s’illustrer dans la dénonciation de la gouvernance sont traqués par le pouvoir qui confine les libertés. Toutes choses qui ramènent le Togo aux pratiques démocraticides du temps du parti unique, voire pires…Mais le plus curieux, c’est ce même régime qui joue le parangon de vertu, le chantre du dialogue, de la paix, le négociateur dans les dossiers malien et tchadien…On aura tout vu !

Mots clés: Faure GnassingbéLiberté d'expression
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