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Burkina : Les dix fautes lourdes de la chute du Colonel Damiba

Burkina : Les dix fautes lourdes de la chute du Colonel Damiba

23 octobre 2022
dans AFRIQUE
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N’espère rien de l’homme s’il travaille pour sa propre vie et non pour son éternité » Dans Citadelle, Antoine de SAINT-EXUPERY nous emmène à comprendre que ce que nous faisons pour nous-mêmes pour nos propres intérêts, pour notre confort existentiel n’a aucune valeur pour élever la collectivité, nourrir l’espérance et donner foi en l’avenir d’un peuple, d’une nation pour inscrire au firmament de l’histoire des hommes et des républiques. La stérilité avérée des gens qui ne savent pas bâtir les nations n’incarne jamais une puissance d’entrainement. Elle suscite plutôt le rejet.

Ce dont les cités ont besoin pour grandir, c’est l’exemplarité de leurs dirigeants, leurs qualités éthiques, civiques, morales intellectuelles, patriotiques, leur sincérité dans l’action, leur audace de transcendance des écueils qui affleurent dans le vivre- ensemble et qui compromettent les fondements sécuritaires des peuples. L’humilité de ceux qui servent les nations dégage presque toujours des gages de respect de l’humain-patron ; elle rassure les peuples en ce qu’elle tisse des cordons de proximité avec lui et d’écoute de leurs attentes.

Le peuple du Burkina Faso qui souffre du terrorisme djihadiste et qui a perdu plus de la moitié du territoire national sous le contrôle des terroristes a besoin d’un leader charismatique, révolutionnaire pour restaurer les populations dans leur dignité, dans leur liberté, dans leur sentiment d’appartenance à la collectivité nationale.  Des volontaires acceptent le combat contre les djihadistes et il faut de l’austérité et des sacrifices de l’Exécutif pour accompagner les soldats au front et les volontaires qui n’ont pas une mission aisée.

Roch Marc Christian Kaboré, déposé pour un manque d’envergure pour faire face à l’âpreté des défis sécuritaires n’a point servi de leçon au Lt-colonel Paul Henri Damiba que tout le monde voyait sur ses grands chevaux de désordre judiciaire, diplomatique, éthique, patriotique, aux éclats de narcissisme puant.

Le peuple souverainiste du Faso n’a-t-il pas de motifs forts de soutien à l’insurrection armée qui a mis fin aux exhibitions hautaines de Paul-Henri Sandaogo Damiba ? Quelle dimension prenait-il avec des incartades répétitives, ses fautes, son égocentrisme, ses provocations agaçantes ?

1) Le manque de flair psychosociologique

Pour être chef, conduire une cité à bon port, il faut être un bon sociologue, un psychologue actif et avoir une bonne maitrise de l’histoire du peuple pour être capable de formuler une approche totalisante des décisions à prendre aux fins d’être proche des populations pour répondre convenablement à leurs attentes et être au cœur de l’espérance collective.  La conscience politique et la réactivité populaire des Burkinabé intègrent encore massivement une dimension de Thomas Sankara, un souverainiste militant, un patriote flambant, une responsabilité de bâtisseur et de protecteur de tout le peuple du Burkina Faso. Occulter aujourd’hui les sillons tracés par Sankara, les déclasser dans la marche en avant de ce peuple en quête de modèle, d’étalon, de principe d’identité pour se retrouver et reconquérir sa souveraineté, des parcelles de territoire perdues est une légèreté impardonnable. Le rêve de renaissance du Faso avorté dans la conscience collective se transforme indubitablement en un danger pour tout occupant du Palais. Sankara savait faire des sacrifices pour un pays et avait le fouet de la mobilisation populaire pour transcender les écueils, mettre en confiance son peuple dans tous les combats. S’accommoder aisément aux principes faux avec une chimère de redonner une fierté, une dignité aux Burkinabé est une duperie qui ne passe pas.

2) L’absence d’horizon clair

La proximité brumeuse avec l’ancien régime, les assassins de Sankara avec une tendance à célébrer Blaise Compoaré dans un faux jeu de réconciliation avec un grand mépris du sentiment national et des ressentiments de tous ceux qui ont souffert mortellement des décennies durant sous le régime de la répression fauve résonne comme une provocation saillante de la nation. Les traumatismes sont encore béants et beaucoup de deuils ne sont pas toujours faits pour laisser au temps d’apaiser les ruminations, les douleurs. La connivence visible avec Blaise Compaoré dégage une odeur de pourriture pestilentielle et insupportable pour une jeunesse vaillante qui a laissé beaucoup de compagnons au cimetière pour triompher de l’assassin de Sankara, lourdement condamné par la justice.

3) Dispersion de la conscience d’un chef de guerre

En huit mois d’occupation oiseuse de Kosyam, les Burkinabè n’ont pas vu un chef de guerre ni sur une superficie reconquise, ni sur le théâtre des opérations et les récits de guerre ne sont pas livrés à la nation pour doper l’espérance, la détermination, l’engagement patriotique, l’accompagnement populaire de proximité qui renforce le moral des troupes. En temps de guerre, une armée a besoin de sentir son peuple derrière elle pour un surpassement d’elle-même autant que son chef suprême dans les ressources dont elle a besoin.

Paul-Henri Damiba a plutôt enfourché ses grands chevaux pour devenir un globe-trotter en abandonnant le pays dans une situation de gravité. Cet éloignement est une minable stratégie. DAMIBA ne savait pas qu’il n’était pas un chef d’Etat ordinaire. Il a ainsi perdu sa mission. Comment pouvait-il se permettre de développer des rapports si spéciaux avec un soi-disant leader de la région qui est assis dans la trahison du destin de l’Afrique ? Pensait-il recevoir de la sagesse d’un homme anti-souverainiste des pays d’Afrique ?

4) Le voyage de la HONTE sous la protection de DAMIBA

Les magistrats du Burkina rendent la justice au nom du peuple du Faso. L’humiliation était indigeste pour ce peuple de grande fierté quand l’œuvre de justice a été chiffonnée par le premier magistrat du pays, qui s’est véritablement mis en exhibition perverse dans une évacuation morbide de la sentence judiciaire. Que peut ce chef défendre encore pour la justice de son pays ? DAMIBA a donné l’impression qu’il est un cascadeur-né, prompt à rompre toutes les digues éthiques, morales, civiques, judiciaires, patriotiques dans une auto-célébration.

5) La provocation inutile des magistrats du Faso

La grève des magistrats pour protester contre le viol de l’arrêt contre Compaoré est une réaction salutaire qui élève la conscience de l’armée sur les dérives d’un chef de guerre introuvable. La destinée des peuples s’illustre par ce que nous soufflent les grands hommes du pays. Le corps judiciaire est un pouvoir et sa position est très déterminante dans les grands rendez-vous de l’histoire d’un pays. Le désaveu criard des magistrats expose DAMIBA  à la jeunesse du Burkina, aux chefs corps de l’armée et à tout le peuple. Le pauvre DAMIBA n’a pas compris jusque-là NAPOLEON, cité par LAS CASAS, dans le Mémorial de Sainte-Hélène : « Il n’y a point de petits évènements pour les nations et les souverains ; ce sont eux qui gouvernent leurs  destinées ».

6) La défiance publique de l’autorité du peuple et de l’armée

« Si vous êtes forts, venez faire votre coup d’Etat et vous ferez ce que vous voulez…».La bassesse langagière est à son comble et traduit bien l’état d’esprit d’un homme imbu de lui-même, narcissique, égocentrique qui ignore que l’humilité est fondamentalement l’antichambre de la grandeur.  La volonté de puissance n’est pas l’apanage d’un individu. Elle est inscrite dans l’instinct de conservation et le chagrin lui donne une inspiration insoupçonnée. « Le fort n’est jamais assez fort pour demeurer toujours le maître ». Cette réalité simple suffit à comprendre la pointe de fanfaronnade ubuesque de DAMIBA qui apprend à ses dépens ce que RICHELIEU nous dit dans son Testament politique : « Les grands embrasements naissent de petites étincelles ».

7) Le manque de discernement entre les besoins nécessaires et les besoins non nécessaires

Le Lt-Col Paul-Henri  DAMIBA, à sept mois à la tête du Burkina Faso par un putsch, décide d’aller se mettre en exhibition stérile à l’Assemblée générale des Nations Unies. Qu’a-t-il de si important à démontrer dans ce déplacement de luxe et si dispendieux, pendant que sur le théâtre des opérations, les besoins sont énormes et les résultats visiblement médiocres et intenables ? Un chef de guerre peut-il s’éloigner de ses troupes, les abandonner lorsque le désastre est flambant ? Cette atrophie de conscience responsable pour sérier les urgences démontre que cet homme est cousu d’illusions topologiques. L’absence de tact éthico-moral est une faillite de la gouvernance qui prépare la ciguë aux chefs sans grande âme.

8) L’esprit de trahison

Le doute sur la personnalité d’un chef comme les maladresses dans ses choix anéantissent son autorité. Quand l’autorité s’effiloche, elle a trop de peine à remorquer l’adhésion des citoyens et des troupes et quand une armée perd fatalement des hommes, elle devient nerveuse. Si le soutien dont elle a besoin résonne comme une assistance impossible, alors que le chef se donne les moyens des sommets et rencontres hors du pays, il faut avouer que la noblesse des armes élève la dignité de respect de la vie des troupes sur le terrain de combat. Lorsque ce simple respect manque, la sentence est implacable.

9) DAMIBA n’est pas un animateur de la conscience nationale

Dans L’Etat spectacle, Roger-Gérard SCHWARTZENBERG insiste sur l’aspect de contact direct et permanent du leader politique avec son peuple pour des détails sur l’action, les résultats, le bilan de tout engagement, les correctifs absolument nécessaires à apporter pour redresser promptement ce qui fait défaut, ce qui manque. En période de guerre, le feu de l’adversité a ses exigences, son langage, ses codes, ses sacrifices, son autorité que le maître déchu ignore royalement. Quand des vies sont dans le gouffre et qu’on est chef, il faut se montrer maître, c’est-à-dire, celui qui trouve des réponses possibles dans l’ordre impossible des événements. Le sursaut de conscience du chef est contagieux ; il est aussi révolutionnaire comme l’écrit Victor HUGO, dans Les Misérables : « Le sens révolutionnaire est un sens moral» DAMIBA n’en était pas bien pourvu.

10) Absence de charisme

Qui chausse plus grand que son pied ne va jamais loin. Quiconque exhibe le « Moi » n’a pas de sincérité ; il perd l’esprit de service et le pragmatisme actif qui donne la force incisive à l’action. Avoir la grosse tête, c’est s’abreuver d’incohérences et de sottises qui nous éloignent des objectifs du combat pour laisser choir l’essentiel. La gouvernance d’un homme fondée sur des accointances douteuses de l’extérieur est une perte de l’originalité du leader extraverti qui n’a plus le temps de l’ingéniosité généreuse à résoudre les urgences et les problèmes du peuple. Les résultats humiliants de la gouvernance dont il  ne tire aucune leçon et dont on se prive d’explication renversent le sens de la normalité éthique et ne peuvent avoir l’aval du peuple. Le souffle de la grandeur du peuple burkinabé, revitalisé par Thomas SANKARA, est encore vivant et vivace. « Les exigences d’un grand peuple sont à l’échelle de ses malheurs », nous apprend Charles De GAULLE, dans ses Mémoires de guerre.

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